L’AlterTour rencontrera la cyclofficine d’Angoulême le 31 juillet.
En 2013, la Cyclofficine a débuté avec des ateliers mobiles d’auto-réparation de cycles. L’objectif était de promouvoir la pratique du vélo ainsi que de favoriser le réemploi et la réparation.
On roule pour l’économie sociale et solidaire
Puis l’association s’est sédentarisée, d’abord grâce à la maison des Peuples et de la Paix, puis à la MJC Louis Aragon. En octobre 2017, la Cyclofficine a passé le deuxième plateau : elle a été retenue lors d’un appel à projets pour l’économie sociale et solidaire. Grâce à ce succès, l’association a pu employer une salariée et s’est installée dans un plus grand local (chauffé !) qui sera baptisé la Grande Pompe.
Un partenariat avec une associations d’aide aux migrants
Le nombre d’adhérents augmente, ainsi que le nombre de cycles réparés et vendus. Les vélos et les pièces sont obtenus à la déchetterie grâce à une convention avec l’Agglomération et Emmaüs, outre les dons. D’autres partenariats sont créés, comme celui avec l’AADMIE (Association d’aide et de défense des mineurs isolés étrangers), à qui l’association met à disposition des vélos.
La Cyclofficine a désormais trouvé sa vitesse de croisière…
L’atelier vélo, accessible pour toutes et tous
« Les adhésions, comme les vélos et les pièces détachées sont à prix libre pour rester accessibles au plus grand nombre. Nos ateliers d’auto-réparation sont basés sur le partage de connaissances et l’apprentissage. Depuis peu nous testons des ateliers 100 % féminins, le but est de leur faire prendre confiance en elles et qu’elles puissent ensuite participer aux ateliers mixtes. On essaye de casser les préjugés, on va y arriver avec le temps ! »
Marc, Bénévole et administrateur
L’AlterTour rencontrera la cyclofficine d’Angoulême le 31 juillet. Pour plus d’information consultez le programme