Sur cette étape, nous avons découvert l’histoire des moulins à vent au fil de la Loire et de ses affluents, pour terminer la journée sur le Lenincafé, bistrot-guinguette sur une ile de la Loire.
Le départ commence de manière technique : Nous traversons Angers en mode « vélorution ». Simple, efficace, nous formons un seul peloton, qui devient un seul véhicule, plus gros qu’un camion. Notre bulldozer collectif passe partout, essuie quelques regard agacés et c’est tout. Nous sommes pourtant une cinquantaine !
La suite longe la Maine sur un chemin ombragé par les arbres, bosselé à souhaite. Région de belles grandes rivières, nous traverserons aussi la Loire et le Layon.
Visite des moulins à vent
En haut d’une belle côte, il y a la pause de midi, et la rencontre avec le monde des moulins à vent. Des passionnés nous racontent : l’histoire, le contexte social, comment ils ont été remplacés, pourquoi ils ont été remplacés, pourquoi sauvegarder ce patrimoine, l’ingéniosité technique, le quotidien du meunier. On se dispute les places pour visiter le moulin, mais tout le monde finira par y aller. Les pales finiront même par tourner un peu, manquant de toucher Elina, sauvée par Bruno…
Un moulin à vent, c’est une histoire de farine très locale qui utilise une énergie vachement à la mode en ce moment !
Le LeninCafé, musée, lieu culturel et associatif
La suite du chemin commence par une belle descente, qui nous fait atterrir au LeninCafé , sur une île de la Loire. Le LeninCafé, c’est un musée de pleins d’objets à l’effigie de Lénine, récoltés par Martine en Europe de l’Est dans son époque communiste, un lieu culturel, et un bar associatif avec de la bonne bière ! Certains disent que c’est le plus grand musée du monde sur Lénine, surtout parce-que c’est le seul au monde ( !) Nous y sommes très bien accueillis.
Le concert du soir, c’est La Chorale à la Con, absolument géniale, à découvrir, j’en dis pas plus !