Les partenariats public-privé se sont multipliés depuis une dizaine d’années. Officiellement, il s’agit pour l’état d’économiser sur les frais d’investissements des grands projets.
Dans la réalité, ces « éléphants blancs » permettent la mise en place de projets non rentables de manière qu’ensuite, les concessionnaires s’y retrouvent financièrement : c’est l’Etat, donc nos impôts, qui paie la différence.
Et c’est ainsi que l’on voit se multiplier en France, ce que leurs opposants regroupent sous le terme de « Grands projets inutiles et imposés »(1).
Cela devient tellement choquant que même l’UNSFA, Union Nationale des Syndicats Français d’Architectes vient de demander, le 23 mars 2013, un moratoire sur ces pratiques (2).
Parallèlement à ces gros chantiers, se multiplient les alternatives concrètes en vue d’une société écologiquement et socialement durable, une société solidaire de coopération.
Ce sont ces petits projets utiles et sans dopage que l’AlterTour valorise d’année en année en leur rendant visite et en publiant ce recueil qui les présente.
Ce qui est extraordinaire pour ces « petits projets », c’est leur efficacité : avec souvent très peu d’argent mais beaucoup de motivation et d’entraide, on obtient le plus souvent des résultats remarquables… [Lire la suite]
Source : http://www.revuesilence.net/